Objectif : Prévoyance

Prévoir ou subir …?
Se poser la question, c’est déjà agir !

La prévoyance c’est prévoir pour ne pas subir ou faire subir à ses proches, des événements aussi difficiles qu’un accident, une maladie voire un décès. Mais c’est aussi se prémunir contre une baisse significative de son niveau de vie lors de son départ en retraite par exemple

“Ne pas prévoir, c’est déjà gémir” attribue-t-on à Léonard de Vinci.
De nos jours, si l’avenir reste imprévisible, les risques possibles sont bien connus et leurs conséquences peuvent être canalisées via des dispositifs de prévoyance.

Les cotisations obligatoires en France couvrent bien sûr de nombreux risques mais les indemnités sont la plupart du temps très insuffisantes et ne permettent pas dans la durée de maintenir son niveau de vie ou celui de ses proches.
D’où l’intérêt de mettre en place des solutions complémentaires qui peuvent se synthétiser autour de 2 grandes axes d’action

Les contrats de prévoyance

Ce sont des contrats qui sont souscrits pour vous prémunir, en tant que personne, contre tout accident de la vie ( maladie, invalidité, décès…).

Vous cotisez régulièrement et si durant le contrat un des risques advient, vous ou vos bénéficiaires en cas de décès êtes indemnisé selon les termes convenus : versement d’une rente mensuelle ou d’un capital par exemple.

Ce type de contrat ne permet pas la constitution d’un capital : si aucun risque n’est arrivé vous ne récupérez pas le montant de vos cotisations.

Ce sont des contrats dits “à fonds perdus” et dont les avantages sont perceptibles qu’en cas de “sinistre”

Les contrats d’épargne

Ce sont des contrats (ou encore mieux une stratégie d’épargne) qui vous permettent de vous constituer un capital lequel pourra vous permettre de faire face à tout accident de vie ou changement de situation comme le départ en retraite, par exemple.

L’assurance vie produit le plus populaire en France en est un bon exemple.

Au-delà de ses avantages fiscaux, l’avantage de l’assurance vie est de pouvoir être alimentée de façon libre : mensuellement ou ponctuellement. Vous pouvez récupérer votre capital soit à terme soit par rachat si besoin, et en cas de décès, ce sont vos bénéficiaires
qui le récupère.

Quel dispositif privilégié ?

Sur le marché de la prévoyance, il existe une multitude de produits et d’options possibles. Selon son profil, sa situation matrimoniale et patrimoniale, nos conseillers experts seront vous conseiller une stratégie de prévoyance, qui peut, selon les cas, privilégier tel ou tel axe ou les mixer.

Le saviez-vous ?

Il est obligatoire pour les entreprises de souscrire pour ses salariés un contrat de prévoyance dit collectif (décès, maladie, invalidité ou dépendance) et de le prendre en charge tout ou partie.

Cette obligation concerne les salariés cadres.

Pour les non cadres, cela dépend des conventions ou accords de branche.

Si vous bénéficiez d’un contrat de prévoyance collective, sachez qu’il est autorisé de le compléter avec un contrat de prévoyance individuelle. Si vous n’en bénéficiez pas du tout, il est peut-être temps.

Vous souhaitez faire le point sur votre situation et le champs des possibles ?

04 78 06 16 30

La retraite, une étape bien prévisible…

Ce qui l’est bien moins, ce sont les conditions dans lesquelles vous allez vraiment la vivre ?

Quand on parle prévoyance, on pense souvent accidents de la vie… mais la prévoyance c’est aussi anticiper les étapes de la vie que l’on sait inéluctable comme la retraite. Mais êtes-vous certain de ce que sera vraiment votre retraite ?

Les estimations de votre caisse ne sont qu’informatives, peuvent comporter des erreurs, n’envisagent pas toutes les hypothèses non plus…
C’est pourquoi nous avons créé Objectif : Vision Retraite.

Vous permettre de bien anticiper, c’est notre métier.

BON A SAVOIR

Les travailleurs non salariés peuvent aussi être protégés

Contrairement aux salariés, les travailleurs indépendants (professions libérales, artisans, commerçants, gérants…) sont bien moins protégés en cas d’accident de vie ainsi qu’en matière de retraite. La loi Madelin y pourvoit en autorisant la mise en place de multiples contrats dont un contrat prévoyance (arrêt de travail, invalidité, décès) et un contrat retraite…

Au-delà de l’intérêt de protection que ces contrats représentent, ces contrats, sous certaines conditions, peuvent être déductibles du bénéfice imposable.

Les réponses aux questions que l’on n’ose pas toujours poser…

“La prévoyance c'est comme les assurances, c'est lors d'un sinistre que l'on sait si elle est bien ou pas, comment être sûr de faire le bon choix ?”

Les experts d’ETHIC CAPITAL ont un statut Conseillers en Investissement et sont contrôlés directement par l’ ACPR et la Compagnie CIF sous l’égide de l’Autorité des Marchés Financiers.
Nous sommes autonomes et ne sommes donc rattachés à aucune enseigne, réseau ou produits dans tous les aspects de notre métier (prévoyance, épargne, placements patrimoniaux, défiscalisation…)
Notre métier est de conseiller au mieux de leurs intérêts, nos clients, et de les éclairer en toute transparence sur les contrats sur lesquels ils s’engagent. De notre fiabilité dépend notre réputation. De notre réputation dépend notre existence même. Et c’est ainsi depuis janvier 2011.

“Est-ce que les contrats de prévoyance ne font pas doublon avec ceux que l'on a déjà ?”

Pour éviter les doublons et s’inscrire dans la complémentarité il est nécessaire de faire le point sur les différentes garanties dont vous bénéficiez déjà dans le cadre de vos contrats d’assurance existants par exemple l’assurance emprunteur si vous avez souscrit un prêt (garanties décès et invalidité sont souvent prévus) ou encore contrat de prévoyance collectif au travers de votre entreprise. Vous accompagnez à optimiser vos choix d’hier et pour demain, c’est notre métier au quotidien.

“N'est-ce pas suffisant de compter sur l'assurance maladie pour laquelle on cotise déjà ?”

En France, la protection des personnes existe bien entendu mais le versement d’un capital lors d’un décès est très en deçà des besoins réels de ceux qui doivent y faire face. A titre d’exemple, le capital décès d’un salarié – montant forfaitaire fixé par décret et revalorisé chaque année – était de 3 476€ au 1er avril 2021… D’où l’importance de se prémunir et de veiller à protéger ses proches pour qu’au-delà de la douleur de la perte ne se rajoute pas la difficulté de vivre décemment.